14/09 : LE 13H DE JEAN-EMMANUEL SARRY @ RESTORE

Revisiting chemotherapy: drug persisters arise from metabolically and transcriptionally distinct cell populations in leukemia

Relapses caused by drug resistance is the major barrier for effective treatment of most solid tumors and hematological malignancies. In acute myeloid leukemia (AML), we showed that mitochondrial adaptation is a critical determinant of resistance to cytarabine (AraC).

We proved that this is associated with an increased availability of respiratory substrates and cofactors, mitochondrial biogenesis and transfer from stromal cells, iron-sulfur cluster biogenesis, BCL2 dependency, and ROS detoxification upon inflammatory and stress responses.

We next demonstrated that the ectonucleotidase CD39 and extracellular ATP promote AraC resistance by enhancing mitochondrial biogenesis and OxPHOS activity through the activation of a cAMP-/ATF4-mediated mitochondrial stress response (MSR). Interestingly, OxPHOS metabolism and MSR are also determinants of the response to IDH- and BCL2-selective inhibitors.

Additionally, our group and others have identified several other markers of relapse-initiating cells (RICs) that are metabolite sensors or transporters such as CD36, SLC7A5 and SLC1A3, which underlined metabolic dialogues between resistant blasts and their microenvironment. This provided access to a broad range of respiratory substrates including fatty acids, glutamine, aspartate, lactate and/or glucose to support the energetic metabolism of RICs. More specifically,

CD36 was positively associated with extramedullary dissemination of leukemic blasts in vivo and in patients. Furthermore, CD36 inhibition reduced metastasis of blasts and prolonged survival of chemotherapy-treated mice. Our ongoing work is highlighting that the role of metabolic and transcriptional trajectories of three distinct RIC populations, diverse tissue metabolomic ecosystems and the impact of ketogenic diet during the course of disease progression.

 

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Directeur de recherche Inserm, responsable de l’équipe “Métabolisme et résistance thérapeutique dans les leucémies aiguës myéloïdes” au Centre de recherches en cancérologie de Toulouse (CRCT)

29/06 : LE 13H DE ALEXANDRE BENMERAH @ RESTORE

Kinesin gene variants in genetic developmental disorders, the specific case of ciliopathies

Alexandre Benmerah, DR2 INSERM, est Biologiste Cellulaire, il a dirigé une équipe de recherche de l’Institut Cochin (2002-2014). Ses travaux sur la poche ciliaire, établissant un lien entre la voie clathrine et le cil primaire, l’ont conduit à s’intéresser à cette antenne cellulaire fascinante et à rejoindre en 2014 l’équipe dirigée par Sophie Saunier à l’Institut Imagine pour y développer des projets centrés sur la néphronophtise, une maladie génétique rénale liée à des dysfonctionnements du cil primaire (ciliopathie). Il y conduit des projets visant à mieux comprendre les fonctions ciliaires, les gènes et l’impact de leurs variants identifiés, dans les mécanismes physiopathologiques lors de la néphronophtise et d’autres ciliopathies.

Alexandre Benmerah a été membre de la section 22 du CNRS et de la CSS1 de l’ANRS. Il est aussi impliqué, dans l’enseignement à l’université Paris-Cité où il dirige le Master 2 “Biologie et Développement Cellulaire”, et dans la médiation scientifique en milieu scolaire (Forum des métiers, Declics).

Passionné de paléoanthropologie, il est également l’auteur d’un blog sur les héritages de nos lointains ancêtres du Néolithique et du Paléolithique.

 

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Directeur de recherche INSERM à l’institut IMAGINE à Paris.

22/06 : LE 13H DE SOAZIG LE LAY @ RESTORE

Les vésicules extracellulaires adipocytaires : de nouvelles actrices dans les complications métaboliques associées à l’obésité.

Au sein de cette équipe Soazig LE LAY dirige un groupe qui s’intéresse aux vésicules extracellulaires du tissu adipeux. Elle s’intéresse depuis 20 ans aux mécanismes moléculaires et cellulaires qui régulent la physiopathologie du tissu adipeux blanc (TAE) et les maladies métaboliques associées à l’obésité (diabète de type II, maladies cardiovasculaires ou stéatohépatite non alcoolique/NASH) dont l’incidence a augmenté de façon spectaculaire au cours des dernières années.

Les vésicules extracellulaires des adipocytes (VE) sont récemment apparus comme des outils puissants pouvant être utilisés comme biomarqueurs de maladies et vecteurs thérapeutiques en clinique. Son thème de recherche s’inscrit dans ce champs émergent dans la perspective d’utiliser les VE des adipocytes pour prévenir les complications cardiométaboliques.

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Soazig le Lay est chercheuse dans l’unité de recherche de l’institut du Thorax de Nantes, dans l’équipe « Maladies cardiométaboliques » dirigée par le Pr Bertrand Cariou et le Dr David Jacobi.

Appel à candidatures pour le poste de Directeur-trice d’Unité

Directeur-trice d'unité de recherche

Description du poste

Le Centre de recherches RESTORE est un jeune institut (création en janvier 2021 sous l’égide de l’INSERM, du CNRS, de l’EFS, de l’Université Toulouse III et de l’ENVT) qui aborde de façon pluridisciplinaire l’étude de l’homéostasie tissulaire chez l’adulte, son vieillissement (normal et/ou pathologique) et les stratégies de réjuvénation possibles.

L’étude de déterminants majeurs que sont le stroma, l’inflammation et le métabolisme (SIM) dans une approche globale de gérosciences permet à la fois l’exploration des mécanismes fondamentaux de la perte de fonction liée à l’âge mais aussi une activité translationnelle importante visant à restaurer cette perte de fonction par des approches de pharmacologie et de médecine régénératrice. L’originalité du laboratoire est la façon de penser une science transdisciplinaire et multiculturelle (au-delà de la seule biologie) et de porter un projet unique avec le développement de modèles originaux communs et le recueil des données pour une analyse globale, multi-échelle et inter-organe. L’application rapide est favorisée à travers des liens étroits avec les services cliniques (Gérontopole, cohorte INSPIRE) et des plateformes de valorisation (le laboratoire héberge une plateforme intégrée dans le projet d’infrastructure nationale EcellFrance dédié à la médecine régénératrice à partir de cellules souches adultes).

RESTORE est organisé en 4 équipes de recherche (voir onglet recherche ci-dessus), auxquelles sont adossées des équipes partenaires provenant de champs disciplinaires autres que la biologie (mathématiques, physique, chimie, informatique), un centre d’expertise et de ressources technologiques (CERT) ainsi qu’une zootechnie dédiée aux modèles de vieillissement (dont le poisson killifish unique en France).

En complément du support technologique, les services généraux contribuent au fonctionnement du centre. Ces services de support incluent la gestion administrative et financière en lien avec les différentes tutelles, un magasin, un service logistique/technique/informatique, de même que différentes cellules : animation scientifique, RPS et prévention, et Ethique.

La directrice ou le directeur de RESTORE devra être un.e scientifique ou un.e clinicien.ne de notoriété nationale et internationale. Elle/Il devra démontrer une capacité à travailler dans un environnement interdisciplinaire et posséder une solide connaissance du système de recherche français.  

Contexte de travail

Elle/Il aura pour mission :

1- de porter le projet de recherche de l’institut et de définir une stratégie scientifique innovante pour le développement de RESTORE,

2- d’assurer le bon fonctionnement de l’institut par la gestion adéquate des moyens mis à disposition par les tutelles et

3- d’accompagner l’évolution de l’institut face aux changements/défis sociétaux.

Le/la directeur(trice) sera accompagné(e) par un comité de direction formé de(s) directeur(trice)(s) adjoint(e)s, d’un(e) secrétaire général(e), des chefs d’équipe et du responsable du CERT.

Il/Elle pourra également compter sur le conseil de laboratoire pour l’aider dans ses fonctions.

Avant même de prendre ses fonctions au 1er janvier 2027, le/la directeur(trice) portera le projet de renouvellement de l’institut dès 2024 en collaboration avec la direction actuelle. Bien que l’appartenance à un EPST ou un EPSCP soit un avantage, l’accompagnement d’un candidat non statutaire pourra être considéré.

Informations complémentaires

Les candidatures éligibles seront examinées par le comité de direction.

Les entretiens des candidats ou candidates éligibles se tiendront fin 2023 et une présentation du projet du ou des candidat(s) à l’unité sera programmée avant la fin de l’année 2023.

Les candidatures doivent être adressées avant le 15 septembre 2023 en un seul fichier format PDF incluant un CV détaillé et une lettre de motivation.

CONTACT

Mr Philippe VALET (Directeur d’Unité)

15/06 : LE 13H DE FLORENCE RUGGIERO @ RESTORE

Decoding the matrix: how collagens shape neuromuscular development

En tant que jeune chercheuse au CNRS, Florence RUGGIERO s’est principalement intéressée à l’analyse des interactions cellule-matrice, des récepteurs du collagène et de la formation des réseaux de la matrice extracellulaire.

En 2001, elle a commencé à diriger son groupe indépendant à l’Institut de chimie des protéines et des protéines (IBCP, Lyon) où elle a apporté des contributions originales dans le domaine de la matrice extracellulaire, des molécules aux organismes. Elle a notamment été pionnière dans l’utilisation du modèle du poisson zèbre pour caractériser la fonction des collagènes dans le développement, la régénération et la maladie.

En 2011, elle a rejoint l’Institut de génomique fonctionnelle de Lyon (IGFL, Ecole Normale Supérieure de Lyon), une structure de recherche de 120 personnes travaillant sur la génomique fonctionnelle, le développement, la physiologie et la biologie évolutive. Son équipe a sans doute acquis une reconnaissance internationale dans le domaine de la biologie matricielle lorsqu’elle s’installe à l’IBCP.

La plupart de ses travaux récents se sont concentrés sur le décodage des relations causales entre la matrice extracellulaire et les événements de signalisation qui régissent la formation des tissus et sur l’examen de leur perturbation possible dans les maladies, ainsi que sur la compréhension de la façon dont les cellules en développement façonnent spatialement et temporellement les matrices contenant du collagène qui sont essentielles pour la formation et l’homéostasie des tissus. Le poisson zèbre est devenu son modèle animal préféré et ses recherches se concentrent désormais sur la réparation de la peau et le rôle de la matrice extracellulaire dans le développement, la réparation et les maladies du système neuromusculosquelettique.

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directrice de recherche au CNRS et directrice de l’Institut Génomique Fonctionnelle de de Lyon. Sa formation combine la biologie cellulaire, la biochimie et la biologie du développement.

08/06 : LE 13H DE JULIE DAM @ RESTORE

An intriguing mechanism of action of a G protein coupled receptor in the adipose tissue

Julie Dam s’intéresse à la compréhension du mécanisme d’action des récepteurs membranaires, y compris le récepteur de la leptine et les récepteurs couplés aux protéines G (RCPG), dans la physiopathologie de l’obésité et du diabète de type 2. En tant que cibles principales des médicaments prescrits actuellement, les RCPG présentent un intérêt particulier. L’élucidation de la fonction des RCPG, dont on sait peu de choses, pourrait avoir un potentiel thérapeutique important.

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chercheuse INSERM à l’Institut Cochin, co-dirige l’équipe “Pharmacologie fonctionnelle et physiopathologie des récepteurs membranaires” avec Ralf Jockers

01/06 : LE 13H DE MICKAEL MEYRAND @ RESTORE

Unlocking Spatial Biology with Orion™

Orion™ est une nouvelle plate-forme de biologie spatiale permettant des résultats d’immunofluorescence sur lame entière et d’imagerie H&E sur la même section pour jusqu’à 20 biomarqueurs en une seule étape de coloration des tissus. L’imagerie Orion est réalisée en moins de 2 heures par échantillon, ce qui rend l’approche adaptée à la recherche translationnelle et clinique.

Ce séminaire décrira l’utilisation de la microscopie immunofluorescente multiplexée pour étudier l’architecture et l’état des cellules, les marqueurs de maladies, les cibles médicamenteuses potentielles et la réponse immunitaire de l’hôte. Nous décrirons comment la mesure quantitative et subcellulaire de jusqu’à 17 biomarqueurs protéiques sur plusieurs échantillons de diapositives entières par jour a été utilisée pour des études translationnelles et cliniques à grande échelle. Les exemples incluront des tissus sains et une gamme de tumeurs solides et de microenvironnements immunitaires.

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Field Application Specialist – Rarecyte (Precision Biology Solutions – Spatial Biology Realized)

16/03 : LE 13H DE ARUN KUMAR @ RESTORE

De-centralizing the Central Dogma: Gating of central clock signals prevents muscle aging

Daily tissue functions rely on a network of molecular clocks that are necessary for organism health but can be disrupted by aging and lifestyle changes. Communication of these tissue clocks and their temporal coordination are essential for maintaining organism health. The mechanisms accounting for the communication needed for daily coherent physiology during an individual’s life, and whether (and how) intra-tissue clocks networks are important for muscle tissue maintenance, have remained practically unknown.

Here, we addressed the open question of how the brain and muscle clock interact to maintain correct daily muscle physiology, and whether disruption of any such communication leads to aging phenotypes in muscle. To elucidate the structure of this network, we established a minimal clock module with the central clock (suprachiasmatic nucleus [SCN]/brain) and/or a peripheral clock (muscle) in arrhythmic, prematurely-aged mice. Unexpectedly, we observed that brain-muscle clock network reconstitution suffices for preserving basic daily homeostatic functions and preventing premature muscle aging, but input from other peripheral clocks is required for full daily physiology. Mechanistically, the muscle peripheral clock acts as a gatekeeper by selecting and suppressing signals from the central clock, such as untimed lipid metabolism and mitochondrial homeostasis, which would be detrimental to muscle function if left uncontrolled, and by integrating the muscle homeostatic functions. This gatekeeping function of the peripheral clock over the central clock was key in preventing sarcopenia, uncovering a less hierarchical organization than previously proposed. In normally aged mice, the central clock fails with declining activity.

Strikingly, failure of the central clock in normally aged mice (and in young mice lacking the central clock) can be rescued by imposing a feeding regime associated with correct circadian rhythm (e.g., time-restricted feeding)  which drives the muscle clock autonomously, thus restoring circadian functions and preventing sarcopenia. Our findings reveal reciprocal interactions of the central and peripheral clocks that are required for the daily function of muscle and that can be drastically influenced by eating patterns, with implications for fostering healthier aging and reversing age-related muscle pathologies.

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CHERCHEUR, Department of Experimental and Health Sciences, Pompeu Fabra University (UPF),CIBER on Neurodegenerative Diseases (CIBERNED)

23/03 : LE 13H DE ANNABELLE DECOTTIGNIES @ RESTORE

ALTERNATIVE LENGTHENING OF TELOMERES IN CANCER: DIAGNOSIS AND THERAPEUTIC PERSPECTIVES

Les télomères sont des structures spécialisées qui protègent l’extrémité des chromosomes. Ils peuvent s’apparenter à des « capuchons de protection ». L’importance de l’étude des télomères, entre autres dans le contexte de la recherche contre le cancer, a encore été renforcée par l’attribution du Prix Nobel de Médecine 2009 à la découverte des télomères et de la télomérase.

Pouvoir maintenir ces « capuchons » est crucial lorsque les cellules se divisent car le processus naturel de division cellulaire endommage les extrémités chromosomiques. Au cours des premières divisions embryonnaires, nos cellules sont capables de maintenir cette protection, mais cette capacité est ensuite perdue dans la majorité des cellules puisqu’elles ne se divisent plus.

De cette façon, la nature nous protège contre la prolifération cellulaire illimitée, comme celle qui caractérise les cellules cancéreuses. Comment la formation de tumeur est-elle dès lors possible ? L’acquisition d’un mécanisme de maintien des télomères nécessite d’outrepasser les barrières naturelles de protection contre le cancer, par le biais de mutations et de remaniements des chromosomes. Une fraction des cellules qui passent par le processus de cancérisation y parvient, et ces cellules sont alors capables de se multiplier dans l’organisme.

Au laboratoire, nous nous intéressons à cette problématique et souhaitons acquérir une meilleure connaissance des mécanismes de maintien des télomères afin d’identifier d’éventuelles nouvelles cibles pour la lutte contre le cancer.

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CHERCHEUSE, Institut de Duve- Université Catholique de Louvain, lauréate du prix Allard-Janssen 2017

Assistant.e ingénieur.e en expérimentation et instrumentation biologiques H/F

ARIA FUSION

Assistant.e ingénieur.e en expérimentation et instrumentation biologiques H/F

Ville : Toulouse, France

Corps : Assistant.e ingénieur.e

Remunération : voir grilles indiciaire des fonctionnaires

Type de contrat : Mobilité interne INSERM

Quote : Temps complet

Description du poste

Mission :

Au sein du Centre de Ressources et d’Expertises Technologiques de RESTORE (CERT)
l’assistant.e ingénieur.e aura pour mission de :
1 – réaliser les expériences de cytométrie et assister les utilisateurs du plateau de cytométrie ;
2 – participer au bon fonctionnement du plateau ;
3 – former les nouveaux utilisateurs ;
4 – développer l’utilisation de l’analyse non supervisée de données multiparamétriques.

Activités :

Activités principales :
– Assurer un support à la responsable du plateau de cytométrie RESTORE ;
– Assurer la formation des nouveaux utilisateurs sur les appareils d’analyse en libre-service ;
– Accompagner les utilisateurs dans la conception des panels d’anticorps, l’acquisition des
données et l’analyse de leurs expériences ;
– Réaliser en autonomie les expériences de tri cellulaire pour les utilisateurs ;
– Participer au bon fonctionnement du plateau de cytométrie ;
– Assurer les contrôles qualité sur les cytomètres et la maintenance de premier niveau des
appareils ;
– Assurer le suivi des maintenances du parc technique ;
– Participer à la gestion financière du plateau (tarification, devis, facturation) en accord avec
les règles comptables de l’organisme ;
– Appliquer et s’assurer de l’application des règles d’hygiène et sécurité ;
– Participer aux tâches communes (gestion des stocks et déchets, commandes, démarche
qualité…).

Contexte de travail

Compétences :

Connaissances approfondies en cytométrie en flux et en tri cellulaire ;
• Maîtrise des principes de la cytométrie en flux
• Utilisation de logiciels d’analyses de cytométrie en flux (Flow Jo, Flow Logic, Kaluza)
• Connaissances en biologie cellulaire
Institut national de la santé et de la recherche médicale 3
• Connaissances des normes qualités
Acquisitions et analyses en cytométrie en flux
• Tris cellulaires
• Aptitudes relationnelles : Capacité à transmettre clairement des informations, écouter activement,
interagir avec des communautés variées, et faire preuve d’ouverture d’esprit. Disponibilité.
Investissement dans le collectif.
• Aptitudes méthodologiques : rigueur et méticulosité dans la réalisation des protocoles, l’enregistrement
des échantillons, le suivi des expérimentations et le traitement des données.
• Sens de l’organisation (planification, priorisation, anticipation).
• Capacités d’adaptation et de réactivité.

Contraintes et risques :

La personne peut être amenée à travailler sur plusieurs sites : Campus Oncopole et Campus Rangueil (CHU et Université), les trajets entre les sites sont pris en charge (tikets tisséo/téléo)

Contexte de travail :

L’institut RESTORE est un centre de recherche multi-tutelles (Univ. Toulouse 3-Paul
Sabatier, CNRS, Inserm, EFS) situé sur le site Oncopole-Langlade de Toulouse. L’institut
compte actuellement plus de 140 collaborateurs répartis en quatre équipes de recherche et
un centre de ressources et d’expertises technologiques.

Le plateau de cytométrie est rattaché à la plateforme technologique Toulouse Réseau
Imagerie (TRI) du GIS GENOTOUL, labellisée IBiSa et certifiée Iso 9001 v2015 et NFX 50-
900 V2016.

Les équipements sont ouverts à l’ensemble de la communauté scientifique académique et
privée. Le plateau de cytométrie est équipé de trois cytomètres analyseurs (un Fortessa X20,
Macsquant Q10), d’un trieur de cellules (ARIA fusion) et d’un cytomètre en image (Image
Stream X).

Informations complémentaires

Date de prise de fonction juin 2023

Diplôme requis/ expériences appréciées :
• Niveau : Bac+2 minimum
• Expérience souhaitée en laboratoire

CONTACT

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